Vers un renforcement de l’offre touristique togolaise : validation des deux études de faisabilité pour l’aménagement des cascades de Kpètè Bèna et de Gbalédjé

Vers un renforcement de l’offre touristique togolaise : validation des deux études de faisabilité pour l’aménagement des cascades de Kpètè Bèna et de Gbalédjé

Partager sur :

Facebook
Twitter
LinkedIn

Le ministre de la culture et du tourisme Dr Kossi Lamadokou a ouvert les travaux d’un atelier de validation de deux études de faisabilité pour des projets d’aménagement des cascades de Kpètè-Bèna et de Gbalédjé.

Dans son discours d’ouverture il a exposé la stratégie de son département pour l’atteinte des objectifs du projet prioritaire 19 de la feuille de route gouvernementale. Cette stratégie à termes, contribuera à la viabilisation de toutes les potentialités touristiques du Togo. Pour cela, en 2020, une prospection de potentialités touristiques a été lancée, au plan national en vue d’identifier les biens répondant aux critères minimaux préétablis. Suite à cette étude exploratoire, les cascades de Kpètè Bèna, dans la préfecture de Wawa, et de Gbalédjé, dans la préfecture de Kpélé, ont retenu l’attention du Ministère de la culture et du tourisme et ont bénéficié d’études de faisabilité des idées de projets pour leur aménagement.

Il ressort de l’évaluation faite par les services techniques du ministère que ces deux cascades disposent d’atouts qui méritent d’être optimisés. Mais, l’état actuel, de ces cascades révèle un besoin urgent de protection, de conservation, de documentation, de maitrise foncière et de mise en valeur. Il s’agit donc pour ces études d’analyser les attributs naturels desdits sites, de proposer les meilleures stratégies pour les préserver et les valoriser de façon rentable.

Les rapports provisoires d’études de faisabilité, soumis à validation, font un état des lieux des sites, proposent les aménagements adéquats à réaliser pour une mise en tourisme réussie et évaluent la faisabilité de leur exploitation, en termes d’implications juridiques, de rentabilité financière et économique et de l’impact socio-environnemental.

La présence à cet atelier des autorités des communes abritant ces sites témoignent de la dynamique participative dans laquelle le ministère de la culture et du tourisme.